Quelques poèmes.

Moi je re-dit BRAVO!!

Merci à tous ^^

beaux poeme:champion:

ouin!!!! Je trouves tes poèmes magnifiques!!!!

Tu ne respectes pas less contraintes du poète normal, mais ce n'est pas grâve^^

Quelles contraintes?

Soif…Seul ce mot me vient à l’esprit

Je ne peux plus parler, rien ne sort de ma bouche

A présent il n’y a plus rien, tout est fini

De l’eau, il ne reste plus une couche.



Elle a disparu sans laisser de traces

Evaporée on ne sait où

Les vies peu à peu s’effacent

Tout fini par tomber, à bout.



Ici dans cet aride désert

On ne vit pas, on survit

Nous perdons tout ce qui nous est cher

Maintenant, tout espoir est anéanti.



Les exclus ont trouvé refuge à travers

Les infinies étendues de sable

On pensait cet endroit prospère

Il se révèle abominable.



Toute vie humaine périra

Un jour ou l’autre, c’est évident

Mais pas ici, pas comme cela

Plutôt me vendre à des truands.



Je n’ose plus sortir

Ni regarder par la fenêtre

J’ai peur de ce qui pourrait se tenir

Devant moi, quelque carnage peut-être.



Nos animaux ne se nourrissent plus

Déshydratés, se tiennent devant nous des corps squelettiques

Bêtes, métiers, eau…Nous avons tout perdu

Se révèle alors à nous une fin tragique.



Plus personne n’a de quoi vivre

Pénurie de nourriture, pénurie d’eau

Tout le monde connaît son sort : périr

Le manque se resserre sur nous comme un étau



Morose, j’aventure mon regard au dehors

Il fallait s’y attendre, nous finirons tous ainsi

On transporte un nouveau corps

Blanc, immobile, dénué de vie.



Un râle au loin se fait entendre

Cri de désespoir, cri de douleur

Une âme de plus vient de se faire prendre

J’attends. Cri intérieur.



A son zénith, le soleil brille, éclaire

Impassible dans le ciel

Ravageur sur nos terres

Sans le savoir, devient criminel.



Lui qui était source de vie, source d’espoir

Est aujourd’hui maudit, on suffoque

On se meurt, on ne peut croire

Que tout s’arrangera d’un bloc.



Promesses tenues, promesses perdues

Promesses espérées, promesses réalisées

Vie en décadence, vie vécue

On s’y accroche, le lien fini par se briser.



Abandonnés dans les déserts du monde

On ne pense plus à ces pauvres reculés

Qui ne cherchent à présent que l’onde

Ils sont oubliés, meurent sans dernière pensée.



Aucune âme qui vive

Aussi insensée soit-elle

Ne sort pas, quoi qu’il arrive

Mais je le sens, on m’appelle.



C’est à la fois sage et puissant

Doté d’incomparables capacités

Il peut mette fin à notre misère en un instant

C’est pour cela que je dois le rencontrer.



Je ne sais comment

Mais on palie à mon manque de forces

Peut m’importe, je me rends

Je ne sais où, sans que les choses ne se corsent.



Mes jambes avancent seules

Je ne suis plus maître de moi-même

Elles me transportent comme un animal avec ses petits dans sa gueule

Peu à peu, je me sens devenir blême.



Derrière moi, le village est caché

Par le sable qui partout tournoie

Il ne me reste qu’à continuer

J’avance, j’ai peur toutefois.



Ma vieille carcasse supporte mal

Le rythme soutenu auquel je progresse

Mais je continue tant bien que mal

Quand soudain, tout cela cesse.



Je tombe à terre

Mains enfouies dans le sable chaud

Ne me relève pas, je préfère

Attendre et écouter les échos.



Une voix me dit de me lever

Me tend la main

Dois-je l’accepter ou bien refuser ?

Quoi qu’il advienne, je suivrai mon chemin.



J’attrape d’un geste vif

La main de cet inconnu

Est-ce lui qui s’est montré si persuasif

Et m’a donné une force que je n’avais jamais connue ?



Vêtu d’une ample cape noire

Il m’apparaît mystérieux

Mais il le faut, je veux le voir

Et lui parler sur un ton sérieux.



Il ôte sa capuche, dévoile sa figure,

Une imposante chevelure blonde

Qui parmi nous ferait parjure

Tout comme sa très blanche peau ferait fuir du monde.



Malgré cela, la noirceur de son regard

Attire toute mon attention sur ce curieux personnage.

Le vent se lève, il se fait tard,

On ne reste pas si longtemps debout à mon âge.



Ses yeux si vivants pétillent

Comme je n’en avais jamais vu auparavant

Ils luisent, scintillent,

Je reste coi, j’attends.



D’une voix calme et sage

Il m’adresse la parole

Je sens se raviver en moi une part de courage

Je sais que je dois jouer un rôle.



J’écoute, ne dis rien

Sa voix berce mon corps engourdi

Il me promet le bien

Va mettre un terme à cette folie,



Qui ravage nos contrées

Qui détruit la vie

Il nous rendra l’eau désirée

Considéré comme un dieu ici.



Il m’a choisi comme émissaire

Mon rôle est de porter le message

Cette nouvelle deviendra comme la mer

Mer d’espoir, mer de courage.



Sa douce et blanche main

Se pose délicatement sur mon épaule

Mon esprit est à présent serein

J’ai en moi sa parole.



Il ferme les yeux, ouvre la bouche

Et dans un langage étranger

Délivre une série de mots louches

Mais je suis vite rasséréné.



Je sens venir en moi une nouvelle jeunesse

Mes douleurs ne sont désormais plus,

Jaillit une bouffée d’ivresse

J’ai tout retrouvé alors que j’avais tout perdu.



Le temps que je me réjouisse, mon bienfaiteur prit la peine

D’à son tour disparaître, rapide comme la lame d’un sabre.

L’enfant voit la graine de sa vie quotidienne

Mais l’homme qui se retourne sur son existence en voit l’arbre.



Grandeur d’âme purificatrice

Annonciateur de la paix après la guerre

Pouvoir incroyable, puissance motrice,

Chaos, maître des terres.

C'est un roman celui là xD, bon je vais poster le mien ce week end.

Moi,j'en ait plein mais il font que quelque ligne,je peut les poster ???

Ouais, vas-y, postes^^

dit moi,odion çà vient de toi çà (si c'est le cas) moi je dit chapeau bas, je m'incline (en plus tu est pas très agé et tu sais déjà faire des poèmes comme çà moi je dit bravo
je suis plus fort ezn dessin que en poème^^

Bien sûr que c'est de moi^^

un autre un autre!!!!lol

J'en ai encore en réserve ^^

bon peut etre pas ce soir tu dois etre fatigué n'est ce pas?
( t'aurais pu me dire que tu voulais pas regardé les dessins c tout)

bon voila mon roman (2 pages il fait xD)

Au bruit du vent,
vient une musique,
cette musique est douce,
mais se montre après, au gré du vent
plus violente tel un hurlement,
un hurlement d'animal qui se débat,
comme si quelque chose voulait le prendre,
telle la mort prenant la vie, si douce.

Alors que l'on aurait voulu rester encore,
la musique continue, devient plus forte
comme la colere,
lorsqu'elle s'abat sur la cause de son état,
plus rien ne l'arrête,
jusqu'a ce qu'elle atteigne son but,
l'anéantir.

Le vent devient doux
on ne sent plus la colère
mais de la douceur,
comme une berceuse
qui nous pousse a avancer,
à découvrir l'horizon,
au fil du son;
on avance jusqu'à trouver une mer,
étincelante qui va jusqu'a l'horizon
on ne voit rien d'autre,
à part ellele vent nous pousse à continuer.

On découvre une plaine,
une plaine verte,
à l'horizon on voit une terre rouge
c'est un désert,
où il n'y a aucune vie,
le vent souffle,
recouvrant nos traces de pas.

On veut continuer mais le vent nous en empèche,
il nous oblige à aller autre part,
x'est une forêt qui apparait
devant nous entièrement couverte
où même les rayons du soleil n'apparaissent
la forêt est sombre mais on arrive à avancer jusqu'à
découvrir des ruines, envoutées.

En les contournant, nous retombons dans la forêt
cette fois, c'est une lumière qui apparait,
enfin, nous sortons de cette forêt,
et c'est une plage de galets
qui vient sous nos yeux,
un fleuve coule un peu plus loin.

Dans un coin,
il y a un troupeau, je ne sais pas ce que c'est,
c'est assez difficile de distinguer de loin,
ensuite c'est une nuée d'oiseaux
qui signale la présence d'un prédateur,
ou autre chose qui sait ?
Il est temps de partir,
et de laisser ce pays naitre.

ouf fini!

Plutôt sympa, même si ça rime pas ^^"

Je me suis éclatée à écrire celui-là, à force de bosser au taquet, j'en avais marre...


Travailler…Toujours travailler…

Passer notre journée à l’école

Et en rentrant se mettre à étudier

Tout en maudissant ce protocole.



Travailler…Sans jamais s’arrêter…

Nos parents sont là, ne nous lâchent pas

Ne comprendrons-ils donc jamais

Que l’on ne supporte plus ce travaille de forçat ?



Travailler…Ils sont sans pitié…

Travailler sans relâche

Ils veulent que l’on réussisse là où ils ont échoué

Mais nous nous distrayons sans qu’ils le sachent.



Travailler…Pour les laisser en paix…

Tandis que nous étudions

Eux ne pensent qu’à se reposer

Nous ne devons émettre aucune objection.



Travailler…Et puis s’épuiser…

On s’y donne corps et âme

Aucun répit ne nous est accordé

Au fond de nous se meurt la flamme.



Travailler…Et à la tache se tuer…

Ils se servent de nous

Nous sommes des pions sur leur échiquier

Leur retraite sera assurée jusqu’u bout.



Travailler…Ne pas penser à jouer…

Ceci devient à la longue notre rengaine

Et c’est le nez dans les cahiers

Que nous vivons cette souffrance quotidienne.



Travailler…Nous y sommes obligés…

Il leur faut des résultats

Les notes des contrôles en sont leur clef

Les examens nous font effroi.



Travailler…Jusqu’à la majorité…

Nous devrons nous plier à leurs décisions

Ensuite retrouverons une certaine liberté

Et ferons ce qu’il nous semble bon.



Travailler…Oui, mais à quel prix ?

Nous y laissons nos corps

Nous y laissons nos vies

Cela devient plus qu’un effort.



Travailler sous la terreur

Travailler rime avec vie sacrifiée

Travailler sans avoir droit à l’erreur
Travailler car ils nous ôtent notre volonté.

Odion a écrit:

Plutôt sympa, même si ça rime pas ^^"

Faut connaitre le sujet aussi, "écrivez un poeme sur un pays a naitre", 2eme meilleure note de la classe 14/20 ^^"

Ah, c'était pour les cours xD

Bah oui j'allais pas en faire un comme ça xD

Ben moi je les fais comme ça justement